Glorias Novales


Incantations rêveuses, instruments plaintifs, mélodies nostalgiques, une sorte de naïveté brute, répétitions alchimiques… Voilà ce qu’est Glorias Navales.C’est aussi un groupe né dans un sous-sol de Santiago (Chili), composé de guitares électriques et acoustiques, de rabel (petit cordophone d'origine espagnole), basse, percussions, casio, pips et shakers.Leur première cassette sort sur Traición 73 Records en 2015.

Peu après, le label Kye Records de Graham Lambkin sort leur premier album, Cofradía Náutica, une collection d’enregistrements live et studio. Depuis, ils se sont produits à plusieurs reprises au Royaume-Uni et en Europe, notamment au Counterflows (Glasgow) et au Cafe Oto (Londres), concert joué en 2017 qui fut publié sur le label Otoroku.

Leur jam se situe quelque part entre la musique folklorique chilienne et le psychédélisme post-Velvet Underground déglingué.


Sholto Dobie


La création d’instrument est pour Sholto Dobie une porte d'entrée à l'expérimentation et l’exploration sonore. Ses vielles à roues, cornemuses et orgues faits-maison, avec leurs propres particularités et limites, lui dictent différentes manières de jouer et d’appréhender la musique. En résulte de cela une musique faite de sons atonaux, dissonants et absurdes, profonds et longs, ou encore bruts. Des sonorités singulières et évocatrices, aussi plaisantes qu'étranges à l'oreille.Quand il ne joue pas seul, on peut retrouver le musicien écossais (vivant en Lituanie) aux côtés de Rie Nakajima, Judith Hamann, Lia Mazzari, Shakeeb Abu Hamdan, Mark Harwood, Marja Ahti et Niko Mahti Ahti, Antonina Nowacka, Malvern Brume, Lucia Nimcova et le groupe Lo Escucho Lo Pinto.Il s’est produit au Cafe Oto (Londres), au Fylkingen (Stockholm), au KM28 (Berlin), dans de nombreux festivals comme à l’Himera Festival (Turku), à l’Organ Sound Art Festival (Copenhagen), au Counterflows Festival (Glasgow) et bien d'autres encore.