Plus de dix ans déjà que Charles Pasi contourne les codes , slalome entre les piquets de l’évidence pour écrire sa propre destinée. Un piano, un harmonica, une voix. Puis la ville. Les villes. Le bitume. Une déambulation. Citadin, témoin, homme, musicien, Charles Pasi marche, arpente, avance, sur sa route et dans sa tête.
Il cite d’ailleurs en souriant Duke Ellington: “Il n’y a que deux styles de musiques: la bonne musique et la mauvaise musique” . Comme il a raison.