Chanson et poésie, en solo, à la basse et au piano.
"Seule sur scène, une fille aux cheveux ébouriffés enfourche sa fragilité et va nous cueillir des mots, le long d’une corde qu’on croyait bien cachée dans le noir de la salle. Elle les fait glisser sur sa basse qu’elle joue presque comme d’une guitare. Elle en joue comme de nous, délicatement, et à pleine corde. Dans la légèreté comme dans la douleur, Marion Cousineau se montre toujours nue. Le sourire qui se dessine en coin de sa joue droite, c’est tout ce qu’elle a comme paravent. » Sarah Rubato
« Marion Cousineau, pour beaucoup saisissante découverte de Barjac m’enchante, en seulement deux chansons et deux textes lors de la scène ouverte nocturne du Festival. Une voix chaude, toujours le sourire aux lèvres, s’accompagnant à la basse, elle nous embarque par chants et textes, débordante d’humanité » Michel Gallas - HEXAGONE