Michel Boutet « et Jacques au piano »
Michel Boutet : chant, guitare, racontage
Jacques Montembault : piano
Michel Boutet, quand il chante, avec « Jacques au piano »,laisse la parole à ses colères, ses espoirs et ses partis pris. Ses chansons, nouvelles et plus anciennes, sont celles d’un tendre au verbe précis, qui dresse, avec une rage lucide et un bel humour, le portrait de ce monde et de marins d’eau douce qui nous ressemblent comme deux gouttes d’eau salées. Pour ce faire, il peut compter sur la complicité sans faille de Jacques Montembault, tout en écoute et en partage. « Jacques, c’est plus qu’un pianiste : un accompagnateur, de ceux qui font dans le compagnonnage. Il m’emmène plus loin que je n’oserais seul. »
"Il y a en Michel Boutet cette approche aimante des gens, cette restitution précieuse et précise d’une humanité rare. Il y a des artistes pour qui des festivals se justifient. Boutet est de ceux-là. Une magnifique chanson, qui va à l’essentiel, qui nous est essentielle." (Michel KEMPER. Site "Nos Enchanteurs". Festival Chanson Francophone de Prémilhat)
"Un festival Georges Brassens de très haute tenue à Vaison-la-Romaine, marquée par la découverte d’une superbe pointure de la chanson : à savoir Michel Boutet ! (Christian DEVILLE-CAVELIN. Revue "Les amis de Georges" )
"Des musiques riches, des textes subtils. L’univers de Michel Boutet est profond, rempli d’authenticité. C’est la vie en partage. Cette douceur-là fait un bien fou. On est pas prêt d’oublier cette soirée." (Isabelle JOUVE "La Marseillaise". Festival de Barjac)
"J’avais découvert Michel Boutetavec enthousiasme il y a quatre ans dans la touffeur du chapiteau. Hier soir, sur la grande scène, c’était encore autre chose, et la qualité du silence et de l’écoute était le signe d’un niveau supplémentaire d’adhésion du public à cet artiste trop rare, qui a recueilli une ovation amplement méritée." (François BELLART. Revue "Vinyl". Festival de Barjac 2013)
"Tout ce qui est écrit dans le journal n’est pas forcément vrai. Mais ça n’est pas forcément faux non plus." (M.B.)