Le Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky célèbre un mythe russe qui consisterait à sacrifier une jeune fille afin que la nature soit généreuse au printemps. À l’inverse, il s’agira pour nous du sacrifice de cette nature et de son renouveau par une tribu de clowns idiot·e·s et perdu·e·s qui pourraient nous ressembler.Au travers de textes choisis par les participant·e·s et de danses improvisées, ces corps burlesques mettent en valeur la nostalgie de rites où l’on honorait encore la nature comme une divinité.