Nour court depuis toujours après la liberté musicale, trop volatile pour être mise dans la cage chanson, elle ouvre la porte à toutes les formes de musique, même si le jazz reste son point de départ : « Je chantais du jazz dans les bars à punks ». Son dernier album respire la lumière, l’audace élégante, et ne refuse jamais l’absurde artistique. « Après l’orage » raconte sans en avoir l’air les quotidiens d’une jeune femme auteur, compositeur interprète.

Le monde est ce qu’il est. Nour le redécore et convoque les surréalistes, Breton, Dali et Magritte en tête pour les marier à Tom Waits, André Minvielle et Billie Holiday pour être elle en toute simplicité et vivre dans sa tête et dans son corps tous ses morceaux.