Le Poche Béthune et l'association Dynamo présentent :


Concert proposé dans le cadre du festival Haute Fréquence organisé par la Région Hauts-de-France du 04 au 30 novembre 2019 - www.haute-frequence.fr


Throes + The Shine (rockuduro) >>>

À la suite de leur précédent album, Wamga (2006), Throes + The Shine (Igor Domingues, Marco Castro, Mob Dedaldino) ont passé ces trois dernières années de tournées intensives en Europe et en Amérique du Sud. Malgré le chaos relatif engendré par de tels va-et-vient, le groupe porto-angolais n'a cessé de coucher sur bandes de nouvelles idées, amassant plus de quarante démos. Le besoin d'en sélectionner la crème se fit pressant et il décida de s'associer au producteur hollandais Jori Collignon (Skip&Die, Nobody Beats The Drum) pour faire le ménage dans cette jungle de son.


Pendant 4 mois dans un studio du bord de mer, à l'extérieur de Lisbonne, ils donnent libre cours à leurs idées les plus folles qui se cristallisent en dix morceaux, prêts à s'envoler à la conquête du monde.


Du révolutionnaire semba électronique ADN au sauvage kuduro-rave Balança en passant par le rock indé caribéen de Minha Gente. Leur désir de dépasser leurs limites les a poussé à inviter des musiciens qui, comme eux explorent, chacun à leur manière, les nouvelles voies métisses de la lusophonie, un pied en Afrique et l'autre dans le futur. Avec Selma Uamusse, Throes + The Shine a créé le joyeux et organique Keep The Fire Burning qui puise son énergie dans les racines de la Mozambique natale de la chanteuse. Avec le gang capverdien Cachupa Psicadélica ils se sont interrogés sur la place de l'homme dans l'univers pour Solar, un morceau qui navigue entre Afropop et Space Disco. Le rappeur lisboète Mike El Nite improvise des rimes intenses sur Musseque et son beat en équilibre entre UK Dance et Trap Rap. Le voyage prend une direction encore plus ouverte avec la connexion réussie avec le duo mexicain Sotomayor qui, via internet, a concocté avec Throes + The Shine une Electro-Cumbia flirtant avec la Salsa, nommée Paraiso. L'ensemble a été baptisé Enza, ce qui en dialecte angolais kimbudu signifie planète et c'est bien d'un nouveau monde dont il s'agit, un espace qui réconcilie le passé et le futur et où le présent peur s'épanouir.

Dernier single - "Balança" :


Ethnophonics >>>


En rue ou sur scène, en fanfare acoustique ou en combo électrique, ce groupe polymorphe vous entraine dans tous les coins du monde où l'on aime danser.

De l'afrobeat au hiphop casher, de la cumbia au chaabi berbère du funk abyssin au rock du désert, la musique d'Ethnophonics ne connaît pas de frontière. Pas besoin de visa, détachez vos ceintures, décollage immédiat !


Ethnophonics présente son nouveau spectacle mettant en scène artistes réels et artistes en vidéo : "Ubi Que"

Leur clip :

https://www.youtube.com/watch?v=2Uex34T9s0