Alors que certains broient du noir, David Hockney profite du confinement obligatoire pour dessiner le printemps depuis sa demeure normande. L'artiste de 83 ans a même troqué ses toiles et ses pinceaux pour le dernier iPad. Parce qu’il ne faut pas attendre qu’ils soient morts pour dire aux artistes qu’on les aime. Voici une conférence sur un Anglais qui, je crois, trace un parcours étonnant dans le paysage de l’art du XXe et début XXIe siècle et a la vertu de nous faire du bien.