"Plus romantique, plus romanesque aussi que les deux précédents spectacles consacrés aux Lettres de mon moulin, cet épisode nous emmènera vers le golfe d'Ajaccio, le détroit de Bonifacio, les rives sauvages des îles Lavezzi, en passant par Eyguières, Arles et… Paris – un voyage accompagné par les polyphonies corses, les blues âpres de Johnny Cash et de Howlin' Wolf, ou encore la guitare de Gérard Cousin égrenant avec délicatesse les mesures de Philip Glass." (Philippe Caubère).