Le Shah de Perse qui flâne du côté de Jérusalem, une Yiddishe Mama très cool, Mozart qui se déhanche sur un air de salsa ou Chopin qui imprime son rubato dans un tango. Impossible, vraiment ?
C'est pourtant le carnet de voyage, intitulé "Rien ne se perd, tout se transforme", que propose le pianiste Philippe Zygel, converti au jazz après une formation classique, marqué à la fois par ses origines juives irano-polonaise et par des influences d'Amérique latine qu'il a sillonnée comme reporter.
Son trio, qui s'évade de l'esthétique traditionnelle du swing pour créer une atmosphère coloriste, emprunte une passerelle entre le lyrisme contrôlé de la musique classique et l'improvisation libre d'un jazz ouvert.
Philippe Zygel est entouré à la batterie de Nicolas Signat qui comme lui s'est lancé à l'origine dans le jazz en pur autodidacte, et à la contrebasse de Gabriel Pierre.

Philippe Zygel : piano
Nicolas Signat : batterie
Gabriel Pierre : contrebasse



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