"Overdose de solitude imposée, dans mes entrailles naissent des besoins insoupçonnés.

Un désir retrouvé d’être ensemble brûle désormais dans mes veines, j’appréhende pourtant le retour à une réalité cancérigène.

Alors que le peuple exprime des sursauts de conscience salutaire, pourquoi reste t-il dans mon âme ce goût amer ?

Pourvu que cette tragédie planétaire mène le monde à la catharsis, mais encore faut-il ouvrir les yeux à l’approche du précipice.

Et si demain nous sommes délivrés de nous mêmes et de nos espaces, nous danserons la vie jusqu’à l’aube, libérés de nos carapaces".

L.D